L’imprimeur doit mourir

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« Il faudrait être complètement blasé pour s’ennuyer une seule seconde en lisant le nouveau roman de Vic Verdier. » Martine Desjardins, L’actualité

Synopsis

Victor-Hugo, l’aîné des deux frères Verdier, est un canard boîteux qui dépare les portraits de famille depuis près de trente ans. Ses parents lui ont toujours préféré Napoléon-Bonaparte, son frère cadet, à qui tout réussit. À la fin de l’été 1919, la chance sourit encore à Napoléon: il revient de la Grande Guerre en héros, juste à temps pour prendre les rênes de la Verdier&Co, l’entreprise familiale. Vic, lui, doit se contenter de l’imprimerie qu’il dirige déjà; un appendice à peine rentable de la maison-mère. Déshérité, humilié, Vic se retourne vers ses amis : Joan l’Anglaise, qui vend son corps, Madeus, le musicien aveugle du bordel, et Tob, le journaliste juif, auxquels s’ajoutera bientôt Rosie, l’assistante d’un illusionniste de passage. Mais le pire pourrait-être à venir : les journaux rapportent que deux imprimeurs ont été assassinés. Vic a le pressentiment qu’il pourrait bien être le prochain.

Dans L’imprimeur doit mourir, les excès de la rivalité fraternelle servent de carburant à un thriller efficace sur fond de chronique (presque) historique. Cette intrique nous entraîne dans une soirée de blues avec Tom Millard, nous offre des billets pour un spectacle de magie à la Houdini, et nous réserve une place de choix pour assister au premier amerrissage d’un hydravion devant la vieille ville de Québec. On y trouve même le feuilleton que Victor-Hugo rédige chaque semaine en cachette pour les pages du Mercure.

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