Les critiques sur Vic

Jack_HM-C1Jack et le haricot magique (ADA)

Karine Riley – Les lectures de Riley

« Au départ, j’avais été inquiet par la longueur du roman, mais j’ai vite compris qu’elle était plus que légitime. L’auteur ne se perd pas dans des événements inutiles. Il sait où il va, il connaît les réponses et il veut nous les donner. Ajouter quelques chapitres de plus aurait été de trop, honnêtement. Avec la fin que nous fournit Vic Verdier, on est aisément en mesure de s’imaginer la suite. Et elle est terrifiante, violente, suprême. J’aurai envie de dire ; attention à la géante… La vengeance est toujours un plat qui se mange froid. » (20 août 2021)

EmpireBSang_AlireL’Empire bleu sang (ALIRE)

Ariane Gélinas, Lettres québécoises, hiver 2022, #183

Des diamants sous la ville, * * * *

Ariane Gélinas offre quatre étoiles au roman.

« Un ouvrage puissant qui raconte un Québec alternatif, au lys scintillant où il faut se méfier de l’éclat des diamants (…) »

« À ma plus grande satisfaction, pas de demi-mesure dans ce récit. C’est tant mieux: L’Empire bleu sang est un ‘ouvrage-fresque’ qui gagnait à embrasser à fond son projet spectaculaire. C’est ce que ce livre accomplit en gardant ses lecteurs-rices haletant-es et ensorcelé-es grâce à un savant mélange d’aventure et d’effroi. »

Josée Boileau, Journal de Montréal, 19 décembre 2021

« L’Empire bleu sang est d’abord paru en 2014, récompensé du prix Jacques-Brossard pour le meilleur roman de science-fiction et du fantastique. L’édition de 2021 est une version remaniée et définitive, qui n’a rien perdu de son ton délicieusement ironique et surtout, férocement glauque. »

« Avec L’Empire bleu sang, Vic Verdier, nom d’écrivain de Simon-Pierre Pouliot, se livre à tout un exercice : appliquer la science-fiction au passé, brasser nos références historiques, réinventer notre époque, et y insérer des doses sanglantes de peur et d’horreur. »

V1_C1C4_Petits_demonsHorrificorama

David Simard, Horreur Québec, 25 janvier 2018

« Horrificorama: concentré d’horreur pur jus »
« Plus de 400 pages de concentré d’horreur pur jus à lire sans modération, le cœur bien accroché puisque ça gicle en sang — et autres sécrétions! »

« Horrificorama fait exception à la règle : les histoires sont toutes palpitantes, en plus d’être d’une grande qualité littéraire. Passer d’une nouvelle à une autre, c’est passer d’une surprise à une autre, les genres étant tellement variés que l’on ne s’ennuie jamais. C’est d’ailleurs la diversité qui fait la force d’Horrificorama, puisqu’elle assure que chacun y trouvera son compte. Les amateurs de gore se délecteront de Lac au Sable, de Vic Verdier […] »

Emeutes_CH

Émeutes

voltak_quebec, Babelio, 27 février 2022 4 1/2*
« Mais que dire? Ouf! « Émeute » de Vic Verdier est excellent! Addictif à la lecture, déstabilisant dans les événements, quelques faits cocasses, et une horreur qui atteint des summums, l’histoire est franchement très bonne! On y suit plusieurs personnages qui croiserons leur destiné lors d’un match du Canadien. Quand la folie du groupe dépasse l’entendement! Bravo Simon-Pierre Pouliot! »

Marie-Christine Blais, Dessine-moi un été, samedi 1er juillet 2017, 7H40 ICI Radio-Canada – Première

« J’ai beaucoup aimé, dans ce genre très brutal. Ce n’est pas pour les enfants! Ça parle de nous autrement que ce qu’on fait habituellement. […] Ça parle de nous… si on allait un peu plus loin. »

L’audiofil de  Dessine-moi un été, samedi 1er juillet 2017, 7H40

Anne-Marie Bouthillier, Revue Clair|Obscur,  30 juin 2017

« Au fur et à mesure que la brutalité se répand, que les partisans se transforment en bêtes sauvages, un grand malaise s’insinue dans l’esprit du lecteur. L’auteur réussit parfaitement sa mission; faire ressentir des émotions intenses tout en procurant un divertissement de qualité.

La plus belle prouesse effectuée par la plume de Vic se résume en un mot : crescendo. […]

Émeutes est le genre de roman qui se dévore à pleine bouche avant de le recommander à tous ses amis. Le mélange d’action, de suspense et de sensibilité contribue à le rendre mémorable, mais l’indéniable talent de Vic Verdier, juste récipiendaire du prix Jacques-Brossard en 2015, l’élève à un autre niveau. »

Lire toute la critique

Martine Lévesque, Les mille et une page de LM, 1er juin 2017

« Vous avez un suspense qui augmente progressivement, plus les pages se tournent. Il est difficile de lever les yeux, on ne veut rien perdre. J’ai eu, tout le long de ma lecture, un petit serrement au creux de la gorge. Les idées qui peuvent traverser l’esprit humain sont inimaginables. »

« Vic Verdier est un auteur avec une plume polyvalente et qui excelle dans bien des styles de la littérature. Ses écrits sont très captivants, bien orchestrés avec un déroulement avec une cadence régulière et progressive pour arriver à un dénouement ou à une intrigue qui provoque une satisfaction au lecteur. Des personnages qui ont des caractères forts et qui nous transmettent une vérité dans leurs comportements, leurs paroles et leurs actions. »

Les mille et une page de LM

Billy Robinson, Revue Les libraires, no 101, 1er juin 2017, p. 21

« Vic Verdier a le don de nous surprendre à chaque lecture. Ce spécialiste de la «dude lit» nous propose ici un roman atypique dans lequel la violence et la cruauté de l’homme se révèlent. Critique sociale surprenante, ce roman saura vous divertir ! Perdez-vous dans ce labyrinthe d’histoires mordantes dans lequel se terrent des personnages tous plus pervers et surprenants les uns que les autres! Vous n’irez plus à un match des Canadiens de la même façon! »

Le No 101 de la Revue Les Libraires

Jeffrey Campbell, Les pages noires, 25 mai 2017

« C’est aussi une belle réflexion sur la psychologie des foules, car dans le mot « émeute », il y a « meute ». Une émeute, c’est lorsqu’on assiste à la dégénérescence de l’homme qui s’abaisse à ses instincts primaires de violence.

[…] Pouliot a du plaisir à écrire dans l’action et, surtout, à finir dans l’action. Ne vous attendez donc pas à un speach final glorieux ou une morale attendrissante : on ferme le livre à bout de souffle, des images sanglantes encore fraîches dans notre mémoire.

Que la partie commence… »

Le billet au complet

Claire Tétreault, Courrier du Haut-Richelieu, 10 mai 2017, p. 34

« Ce roman à suspense est qualifié de coup de poing et c’est le cas. »

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Cochons rôtisCochon rotis_C1

ARP.MEDIA/Critique

« Un bon polar québécois avec une finale en deux temps. Les personnages sont attachants et l’histoire se déroule rondement, sans longueur. On reconnait des endroits de la ville de Montréal et des enjeux actuels de notre société.

L’auteur connait bien son sujet et utilise un vocabulaire policier, qui est expliqué en note de bas de page. L’histoire nous tient en haleine et on en vient à se méfier de tous les personnages. »

Michel Dufour sur Sang d’Encre Polars, octobre 2015

« Je ne connaissais pas Vic Verdier avant ce roman qui m’a bien plu. […] Ça ressemble un peu à un « film de gars », la façon de rendre les relations entre les policiers me semble conforme à ces expériences de groupes de gars où se développent de belles amitiés et de grandes jalousies, mais les quelques personnages féminins ne donnent pas leur place. Le problème est bien posé et l’atmosphère assez mystérieuse constitue une toile de fond qui ressemble à celle de bien des romans classiques. »

Il accorde au polar une note de 4/5!

Lire tout l’article

Cynthia Cloutier Marenger, Traces Magazine, août 2015

« …une intrigue bien ficelée qui vaut la lecture. »

« …une incursion au sein de groupes clandestins qui, un peu à la façon de la série télévisée 19-2, nuance et confirme les stéréotypes sur les policiers. »

Lire la critique dans son ensemble (p. 5)

Annick Larivière, Alternative Rock Press, 24 juin 2015

« Un bon polar québécois avec une finale en deux temps. Les personnages sont attachants et l’histoire se déroule rondement, sans longueur. On reconnait des endroits de la ville de Montréal et des enjeux actuels de notre société. L’auteur connait bien son sujet et utilise un vocabulaire policier, qui est expliqué en note de bas de page. L’histoire nous tient en haleine et on en vient à se méfier de tous les personnages. »

Lire le billet en entier… Cochons rôtis: un bon polar bien québécois

Revue Les Libraires, numéro de juin-juillet-août 2015,  « Les choix de la rédaction », p. 56

« L’auteur, qui a remporté récemment le prix Jacques-Brossard de la science-fiction pour L’Empire Bleu Sang, nous prouve ici qu’il sait également manier de main de maître le roman policier. Un premier polar qui valse entre réalisme, humour et intelligence et ‘qui se dévore comme du pulled pork’. »

Tu veux lire? Ça se passe ici, en page 56.

Michel Bélair, Le Devoir, « Ripoux inc. », 13 juin 2015

« L’histoire se fera de plus en plus complexe, s’égarant même parfois à n’en plus savoir si Verdier raconte tout cela par écrit au psychologue ou si l’on se situe en temps réel. Rajoutez à cela le fait que la partenaire de patrouille de Verdier se laisse dépasser par ses sentiments […] et bientôt, comme Verdier, on baigne dans la confusion.

Étrangement, cette confusion fait partie du charme de cette histoire de vengeance à volets multiples fort bien menée. Même qu’on en arrive à penser qu’elle est vaillamment entretenue par l’auteur, Vic Verdier (pseudonyme de Simon-Pierre Pouliot). Vic Verdier, qui signait en 2014 un roman se déroulant à Québec en 1919 (L’imprimeur doit mourir, chez le même éditeur)… et qui mettait en vedette un certain Vic Verdier.

Mais qui est donc Vic Verdier ? L’auteur du manuscrit confié au psy du SPVM ? L’auteur de cette série de crimes abominables ? Ou Simon-Pierre Pouliot qui nous mène en bateau durant près de 300 pages avant de dévoiler l’intrigue et de mettre fin au suspens ? »

Julie Roy, Coup de pouce, « Livre pour prendre le large », juillet 2015, page 63

Cochons rôtis invite au voyage vers Montréal
« […] on découvre une intrigue hyper bien menée qui emprunte un vocabulaire policier fouillé. »

« […] impossible de savoir qui a allumé le brasier avant la fin. Succulent! »

Jean-François Villeneuve, La Presse+, 24 mai 2015

« Par une mise en abîme dans laquelle le protagoniste écrit lui même son récit sur les événements à l’intention de son psychologue, l’intrigue se développe avec assurance et une bonne maîtrise des principes d’un polar […] Verdier garde l’intérêt de son lecteur avec la vivacité de son écriture et son humour bien tempéré.  L’histoire se déroulant en 2016, l’auteur n’hésite pas pour en assurer le réalisme à piger dans l’actualité et les préoccupations des dernières années pour tisser son ambiance particulièrement avec l’utilisation judicieuse des médias sociaux. »

Lire la critique

EBS_couv-quasifinaleL’Empire Bleu Sang est récipiendaire 2015 du Prix Jacques-Brossard de la science-fiction et du fantastique

Martine Lévesque, Les mille et une pages de LM,
29 mars 2017

« Vic Verdier présente une histoire de plus flippante, entre l’uchronie et la dystopie. »

« Tout cela va créer une intrigue sans pareille, captivant la lectrice que je suis de page en page. […] Vic Verdier a su créer un chef-d’œuvre de la science-fiction, en mettant des scènes qui n’avaient aucun rapport et aucune connexion pour nous amener vers un dénouement final démontrant qu’elles avaient des liens. Cette lecture est un vrai coup de cœur. »

Lire la critique dans son ensemble

Emmanuelle Cartier, librairiemonet.com / suggestions,
12 août 2015

« Vic Verdier est un caméléon littéraire. Qu’il s’agisse de L’imprimeur doit mourir ou de Cochons rôtis, cet auteur sait s’adapter aux genres qu’il choisit d’interpréter. L’Empire bleu sang ne fait pas exception. Cette uchronie steampunk se déroule à Québec, la première puissance mondiale en raison de la découverte d’un important gisement de diamants bleus. Ici, l’efficacité est le mot d’ordre. En moins de 300 pages, Vic Verdier parvient à mettre sur pied un univers vaste où les années 1887 et 1987 s’entremêlent grâce à la voix de ses différents personnages. L’auteur mèle finement religion, fanatisme, trahison, expérimentations scientifiques et héroïsme dans un ensemble débridé et entraînant. Bref, c’est le livre québécois à acheter ce 12 août si vous avez envie de découvrir un auteur qui n’utilise jamais un mot de trop et qui sait vous mener par le bout du nez! »

Cynthia Cloutier Marenger, Traces Magazine, août 2015

« Lecture divertissante et intrigante à la fois, L’Empire Bleu Sang suscite un questionnement moral sur la corruption associée au pouvoir et à la richesse et sur les avancées de la science. À lire, malgré tout, le coeur bien accroché.  »

Lire la critique dans son ensemble (p. 5)

Annick Larivière, A

Isabelle Beaulieu, lesLibraires.ca, « Le prix Jacques-Brossard apprtient à Vic Verdier »,
11 mai 2015

Le jury a dit avoir apprécié le « mélange des sous-genres ‘’uchronie’’ et ‘’steampunk’’, surtout dans ses emprunts à H.G. Wells », « la construction audacieuse du récit » et « l’écriture puissante de l’auteur ».

Pierre-Alexandre Bonin, Solaris, numéro 194, p. 147 et repris dans la Revue Les Libraires, numéro 88

« L’Empire bleu sang constitue sans contredit l’une des révélations majeures en littérature de l’imaginaire pour 2014. En proposant un mélange réussi d’uchronie et de steampunk et en donnant à lire une intrigue solidement construite et enlevante, Verdier captive le lecteur et ne lui laisse aucun répit. Il s’agit d’un auteur à surveiller […] »

Voir l’article au complet (p. 147)

Mariane Cayer, Les lectures de Prosperyne (blogue) NOTE 5/5 (avril 2015)

« …ce livre, […] m’a vraiment fait tripper.  Seulement, si je trippe parfois sur un livre, normalement, c’est plus centré sur l’histoire ou sur le style de l’auteur.  Là, c’est les deux, à égale valeur. »

« L’écriture a l’air toute simple à première vue, mais il faut le dire, l’auteur la maîtrise très bien.  Il ne cherche pas à faire des effets et réussit très bien ce qu’il entreprend.  Superbe roman, très bien écrit, vraiment une très belle réussite.  J’ai vraiment beaucoup aimé! Ma note: 5/5 »

La critique de Prosperyne

Isabelle L’Italien-Savard, Québec Français, numéro 173, p. 11

« L’architecture très audacieuse du récit, bien maîtrisée, et surtout l’originalité de cette dystopie typiquement québécoise valent à elles seules le détour. C’est une oeuvre solide. »

Elle dit aussi du roman:

« Son univers glauque, ses personnages crus, au langage parfois très vulgaire (un brin macho dirais-je), en font une lecture pour les jeunes adultes férus de science-fiction historique. »

L'imprimeur doit mourir, un thriller (presque) historique, qui se déroule à Québec en 1919.

L’imprimeur doit mourir

Dominique Blondeau, Ma page littéraire (Frères ennemis modernes
*** 1/2)

« Roman à tiroirs, habilement déployé, telles des couches sédimentaires concourent à la formation de phénomènes résultant de leur érosion. Emportés par l’intensité d’un récit où deux frères rivalisent d’habiletés dévastatrices, nous apprenons ce qui a poussé les protagonistes, gravitant autour de Victor-Hugo, à devenir ce qu’ils sont en apparence, des femmes et des hommes outrageusement blessés qui se réfugient dans les tricheries d’une existence bancale, dans le moment présent qui n’a de suite que le temps d’un spectacle. En ce début de XXe siècle, où la vie moderne explose et s’installe, il est réconfortant d’assister à une soirée de blues avec Tom Millard, à une revue de magie à la Houdini, à l’amerrissage d’un hydravion à Québec. Qu’importe de savoir si ces événements se sont manifestés comme les a dépeints l’écrivain. Notre lecture, tenant elle aussi de l’illusion, enrobe notre imaginaire d’un plaisir extrême. »

Voir l’article au complet

Jean-François Villeneuve, La Presse +  (Un été à la page – L’ILLUSION)

« Quand un auteur prend comme nom de plume celui du protagoniste de son récit et que celui-ci emprunte lui-même une fausse identité pour rédiger les aventures de son héros, on comprend que le polar que l’on tient entre ses mains n’en est pas un. Ce livre nous plonge dans le Québec de 1919 sur fond de compétition fraternelle après la mort du riche paternel. L’illusion, le complot et l’amour se développent à travers une écriture légère, où le joual parlé par les personnages ne semble jamais de trop. Et le récit est parsemé de chapitres du feuilleton d’aventures créé par le personnage principal, ce qui donne au lecteur deux livres pour le prix d’un. »

Il s’agit des suggestions de lectures d’été de La Presse.

Coup d’oeil sur l’article || L’article sur lapresse.ca

Julie Roy – Coup de Pouce

L’imprimeur doit mourir fait partie des 20 lectures d’été proposées par Coup de Pouce dans son numéro de juillet 2014.

« Avec ses nombreux rebondissements, c’est le roman idéal pour se plonger dans l’ambiance glauque de la Basse-ville de Québec au début du siècle. »

Voir l’article au complet et un lien vers le billet sur le site de Coup de Pouce

L’Imprimeur doit mourir a été offert aux usagers de la Société des transport de l’Outaouais (STO), en version électronique.

Lien vers le projet Lire en commun

Annie Tremblay sur Goodreads.com

« Décidément, on s’attache à cet auteur! Après trois livres, c’est de mieux en mieux, selon moi et je me suis rendu compte que d’un livre à l’autre, l’amitié y est très présente. »

Cynthia Cloutier Marenger – Accès Laurentides (Un bon moment avec Vic Verdier)

« […] l’auteur tire les ficelles de son récit sans rien laisser au hasard. ‘Je structure mes romans au complet avant de passer à l’écriture. […]’ De cette façon, quand vient le moment de s’asseoir devant l’ordinateur, l’écriture coule facilement, et ce, pour le plus grand bonheur de Simon-Pierre Pouliot et, en définitive, pour le nôtre. »

Lire la critique au complet

Martine Desjardins – L’actualité (Papier-monnaie)

« Il faudrait être complètement blasé pour s’ennuyer une seule seconde en lisant le nouveau roman de Vic Verdier. »

Michel Bélair – Le Devoir (Un charme vieillot – Polar)

« Mais le charme vieillot de cette histoire – qui au fond est celle d’un romancier qui souhaite laisser trace de son oeuvre – réside d’abord dans le parfum Belle Époque qui s’en dégage. Les personnages comme les situations décrites sont littéralement d’un autre âge, et Vic et ses amis de la Maison rouge donnent au Québec du début du XXe siècle une allure plutôt sympathique. »

Lire l’article au complet

Isabelle Léger – La Bible urbaine *** (Pastiche, complots et haine fraternelle)

« […] tout est en place pour un thriller comique aux rebondissements arrangés avec le gars des vues. Dans un style assez dynamique où les explications s’insèrent dans les dialogues, l’intrigue rappelle un certain type de feuilleton policier misant davantage sur les évènements que sur la psychologie. Donnant dans la caricature par moments, les personnages nous offrent néanmoins quelques bulles d’originalité très appréciées, dont les descriptions savoureuses que Vic fait à voix haute pour son ami aveugle. »

« À lire au bord de la piscine, ce sera parfait. »

Lire l’article au complet

Belle gueule...

Le Moderne Cabaret

Marie-Christine Blais – La Presse *** (Un monde de gars bien particulier)
« Dans Le Moderne Cabaret, on suit en parallèle deux vilaines histoires de vengeance […]

L’univers de Vic et de sa bande pourrait être celui d’un roman noir à la San Antonio, façon jeune Montréalais des années 2010: langage populaire inventif, références musicales, alcool qui coule à flots. On aime ou pas.

Dans notre cas, c’est avec plaisir qu’on a retrouvé ce «monde de gars» si particulier. »

Lire la critique au complet

Marie-Josée Turgeon – Sympatico.ca / Style de vie / Ma Vie / Livres
Le Moderne cabaret, c’est le genre de roman que je n’aurais jamais choisi dans une librairie de peur d’avoir (encore) affaire au tome 72 du personnage loser en manque de drogue, de sexe et de sang. Sérieusement, je serais passée à côté d’une de mes plus belles lectures de l’année! »

« Vic vit de nombreux bouleversements à la fois […] Mais étonnamment, l’auteur (Simon-Pierre Pouliot de son vrai nom) arrive à nous passer le tout dans un style si simple, si réel qu’on croit à la possibilité de cette histoire et qu’on se prend à chercher des solutions pour aider Vic avec ses problèmes. »

« Comme quoi il faut parfois sortir de sa zone de confort pour découvrir quelque chose de particulièrement agréable!”

Lire la chose dans son contexte original…

Christian Desmeules, Le Devoir
“Le roman est dense et son narrateur, sérieusement volubile. ”

“Il y a peut-être un peu de tout dans le bar ouvert du Moderne Cabaret, oui, mais encore faut-il avoir soif.”

Éric Dumais, La Bible Urbaine
“Simon-Pierre Pouliot, dit Vic Verdier, récidive avec Le Moderne Cabaret, un second roman humoristique et rempli de belles promesses.”

“Simon-Pierre Pouliot, au grand bonheur de ses lecteurs, n’a pas délaissé sa plume accrocheuse et ses gags tordants, qui avaient d’ailleurs fait le charme du roman L’appartement du clown.”

“Sympathique, Le Moderne Cabaret plaira assurément à ceux qui ont dévoré le premier roman […]”

(M. Dumais dit de moi que je suis un “auteur fort talentueux” et me compare à Stéphane Dompierre.)

Sophie Ginoux, CIBL-Radio Montréal (Le 4 à 6)
« Les points qui démarquent cet ouvrage […] L’humour et les références actuelles… on  ne s’ennuie pas, c’est vraiment agréable à lire. Ça donne un caractère de proximité au texte et aussi un ton assez désinvolte. »

« Est-ce que c’est une lecture de gars? Oui! […] Ça transpire la testostérone par endroits. »

« Mesdames, si vous voulez en savoir davantage sur la façon dont les hommes peuvent réagir […], ou si vous aimez les plumes directes et sans flafla, vous aurez du plaisir à lire. Moi j’en ai eu. »

Écouter la critique en balado! C’est vers la fin…

Billy Robinson – Culturils.com
« Et ici, ce qui ne dément pas, c’est le talent de conteur de Vic Verdier ! Après « L’appartement du Clown », Vic Verdier renoue (pour notre plus grand plaisir !) avec ces personnages tous aussi « looser», mais attachants qui avaient fait, de son premier roman, une telle excitation durant la lecture ! […]

Le style littéraire de Verdier se confirme avec ce savant mélange d’humour, d’humanisme… et de musique rock ! Encore une fois, cette « bande sonore » qui accompagne ce roman nous apporte cette touche moderne qui ravit ! […]

Une lecture captivante […] Une belle « lecture de gars » ! À dénicher le plus rapidement possible ! »

Toute la critique…

Leaticia le Clech – Littératures d’ici et d’ailleurs (blogspot.ca)
« Cette liste [chansons citées à la fin du roman], très éclectique (ça va de Marie Laforêt à Félix Leclerc, en passant par Manu Chao et U2), est à l’image de ce roman : très éclaté, mais qui nous tient par un fil qui nous permet de lire avec un réel plaisir cette histoire jusqu’à la fin. »

Lire la critique au complet

Couverture_Ladc_finalL’appartement du clown

Marie-Christine Blais – La Presse ***
« Verdier réussit, avec beaucoup d’esprit, à relater ces moments où on est sans attache, sans but, et où on prend la mesure de ses failles. »

« … les nombreuses références musicales comptent au nombre des plaisirs procurés par ce roman. »

« … il y a là un ton, un humour et une verve qui valent franchement le détour. »

Lire la critique au complet

Éric Paquin – Journal Voir ***
« Vic Verdier (nom de plume de Simon-Pierre Pouliot) parvient à créer un univers crédible peuplé de personnages attachants, dévoilant en outre une langue ludique, pleine de verve. »

Lire la critique au complet

Christian Desmeules – Le Devoir
« …le roman profite d’un ton désinvolte qui lui permet de se démarquer. On imagine que Vic Verdier n’en restera pas là. »

Critique complète payante – désolé

Jean-Baptiste Barraud – ICI Montréal – Week-End ***
« …une galerie de personnages curieux, attachants… »

« …un récit vif, drôle, plutôt agréable, à la narration inventive. Le léger décalage surréaliste qu’il crée s’avère une réussite, faisant ressortir les absurdités d’un existence et les espoirs d’une génération. »

Lire la critique au complet (Page 44)

Coup de Pouce, juillet 2010

L’appartement du clown se classe parmi les six « nouvelles plumes à découvrir » pour l’été 2010.

« …portrait aigre-doux d’une génération un peu perdue qui tente de s’accomplir à tout prix… »

« …un air singulier qui n’est pas sans nous déplaire… »

Plus sur cette critique

Éric Dumais – EmoRAGEi / emorageimagazine.com
« Ah, ce Vic Verdier ! Il est étonnant à quel point l’auteur arrive à nous le faire apprécier tout au long du récit. En effet, c’est avec délectation que nous nous laissons emporter par la plume enchanteresse de l’auteur, Simon-Pierre Pouliot, qui a su faire naître, des limbes de son imagination fertile et délirante, ce personnage tantôt naïf, tantôt clownesque, pour lequel nous avons tant d’affection. […]

La principale qualité de Simon-Pierre Pouliot est sans conteste son imagination trépidante, qu’il a réussi à faire déborder juste à point afin d’alimenter un discours dynamique, naturel et réaliste, insufflé par l’intermédiaire d’un jeune alter ego de 25 ans qui lui ressemble drôlement. L’appartement du clown est un roman d’un réalisme saisissant, pour lequel vous n’aurez qu’une seule envie : le dévorer jusqu’à la dernière page ! »

Lire la critique au complet

Billy Robinson – CoteBlogue.ca / Culturils.com
« L’utilisation d’une sorte de bande sonore avec des pièces des Beatles, de Claude Dubois, de Metallica ou de Charles Aznavour entre autres, enrobe cet univers d’un réalisme original. C’est drôle (les personnages tous orginaux), l’environnement est ludique avec ses hauts plafonds, sa cour arrière et son plancher fragile… Même le Papi de Vic qui, pourtant décédé, vient faire son petit tour de temps à autre… C’est aussi très touchant. La vulnérabilité de Vic à ouvrir son coeur et exprimer ses sentiments profonds est réelle et touchante. Le récit, dans les dernières pages, nous va directement au coeur.

Je ne veux pas trop en révéler, mais je pense que ce livre dépeint avec originalité une génération qui ne l’a pas toujours facile, qui se cherche et se trouve… peut-être.

Un jeune auteur à suivre… et à lire ! »

Lire la critique au complet

ethan hunt – la-fin-du-monde.fr
« On sent que l’auteur prend énormément de plaisir à jouer avec les mots […] »

« La grande réussite de «L’appartement du clown», c’est la proximité qu’il propose avec son héros, on le finit en ayant vraiment l’impression d’être devenu un copain de VV, de faire partie de sa bande. Car ce personnage attachant, colocataire d’un clown, discutant sans cesse avec son grand-père (décédé), balançant en permanence du looser au winner est parfaitement humain, c’est à dire attirant et faillible. »

Lire la critique au complet

Alain – Impressions sur livres
“Or, quand on découvre la vie, peu importe l’âge, on vit des désillusions. Ce roman raconte les siennes. C’est là où se trouve le portrait d’une époque précise, celle de l’après 11 septembre, relaté dans cette histoire, et d’une classe pour qui cet événement a constitué une sorte de fin du monde, d’un monde qu’ils croyaient jusque là invulnérable.”

Lire la critique au complet

2 réactions sur “Les critiques sur Vic

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