Vic est à la fois un écrivain et un personnage de fiction.*
Vic Verdier est le pseudonyme de Simon-Pierre Pouliot. Il s’agit d’un emprunt à son grand-père, qui a lui-même publié des œuvres musicales sous ce nom-là, dans les années 1960. Vic est un indécrottable nostalgique.
Simon-Pierre a trouvé en Vic Verdier un alter ego assez solide pour le suivre dans un projet d’écriture complètement débridé qui se moque un peu des étiquettes. Il touche à la dick-lit (chick-lit de gars), au thriller, à la science-fiction, à l’horreur et au polar – toujours à sa façon.
Vic Verdier, ce sont dix romans très différents: L’appartement du clown (XYZ, 2010) et Le Moderne Cabaret (XYZ, 2012), deux romans qui forment les chroniques du Mile-End; L’imprimeur doit mourir (XYZ, 2014), un thriller dont l’action se situe en 1919; L’Empire Bleu Sang (Joey Cornu, 2014 / ALIRE 2021), une œuvre de rétro-fiction québécienne, violente et irrévérencieuse (récipiendaire du Prix Jacques-Brossard)… Un polar chez les « bleus », les patrouilleurs de Montréal, s’agit de Cochons rôtis (XYZ, 2015) et un suspense à la Tarantino — Émeutes (Joey Cornu, 2017 / ADA 2022). Récemment, Vic a écrit deux romans dont vous êtes la victime: Le visage sous le masque (ADA, 2020) et Mercurochrome (ADA, 2021). Vic a aussi revisité Jack et le haricot magique dans la série des contes interdits (ADA, 2021), puis a publié Verdier, le géant, dans l’univers des contes. De plus, Vic a publié une longue nouvelle d’horreur: Lac au Sable est un slasher qui fait partie du collectif Horrificorama (Les Six Brumes, 2018)
Vic Verdier est un gars de Québec qui a trahi les siens et fait le saut vers la Métropole. C’était à la fin du 20e siècle. Diplômé de l’Université Laval, en histoire, et de l’Université McGill, en communications, il a travaillé à écrire plein de chose dans plein d’organisations. Il a occupé des postes de gestions au Cirque du Soleil, à la Commission de la construction du Québec et à l’Institut national de la recherche scientifique. C’est une chaleureuse armoire à glace, un quarantenaire myope et grisonnant, un fou furieux de bonnes histoires.
Vic sur Wiki.
* J’ai l’intention de continuer à publier sous le pseudonyme de Vic Verdier et de proposer des personnages principaux qui portent aussi ce nom là… ou un dérivé. (Ne t’en fais pas, ce n’est que du flafla d’auteur qui se la joue sérieux, mais ça m’amuse.) Parler à Vic — mon courriel… vas-y, ne te gêne pas. Je cherche toujours des lecteurs pour tester mes histoires.Je t’informe que j’ai une foule d’autres projets sur le feu:
1) un polar, la suite de Cochons rôtis dont le titre de travail est Faces de bœufs et qui parle des caméras corporelles et de la personnification de policiers
2) un roman noir et militaire qui se déroulerait à l’aube des années 1950 dan l’univers de L’Empire bleu sang
3) un roman-roman sur un père de famille qui veut faire sauter Disneyworld… je pétarade solidement: Have a tabarnak de magical day
4) un « crime novel » qui reprend des personnages de L’imprimeur doit mourir et les transporte dans les années folles, à Montréal
5) un « crime novel » dont l’action se déroule en 1992 autour des émeutes au concert de Guns & Roses et d la folie du Temple Solaire
Bonjour Vic,
maintenant l’appartement se retrouve aussi sur le blogue d’Archambault :
http://www.coteblogue.ca/articles/vic-verdier-et-son-appartement-de-clowns/
Cool… les ventes vont bondir ! 😉
Encore une fois, bon succès!
Salut Vic, je trouve le descriptif de monsieur Pouliot très juste … On a pas fini d’entendre parler de ce PERSONNAGE … du moins « DE » L’ENTENDRE parler de choses qui sont toujours très intéressantes … On compte les jours …