Entre les deux mon cœur balance.

Sans farce, un roman, où ça commence? Avec une bonne péripétie qui mène à une autre? Avec l’envie de faire comprendre quelque chose; une idée par exemple?

Foi de Vic, je n’en sais rien. J’ai l’impression que les deux procédés sont aussi valables l’un que l’autre. J’en conclus que ça doit dépendre des doigts sur le clavier…

Pour L’adc, j’ai fait les deux. J’ai commencé par écrire des chapitres indépendants que j’ai assemblés petit à petit sans savoir que j’écrivais un roman. Ensuite, j’ai eu besoin de me demander de quoi je parlais. J’ai trouvé un fil conducteur (qui s’y trouvait déjà inconsciemment, mais en partie seulement)… parce qu’il me semblait que j’en avais besoin. Ensuite, j’ai ajouté des histoires autour de mon fil. Tu me suis? Compliqué. Mon affaire est pleine de détours.

Mais je m’améliore, je pense. La preuve: pour le prochain, je commencerai par fixer des idées, puis je raconterai l’histoire de leur développement. C’est comme ça que je marche, finalement.

Illustration.

Dans un premier temps, je vais me dire quelque chose comme : « J’ai envie de poser la question du mensonge : jusqu’où peut-on mentir? » Dans un deuxième temps, je vais me demander : « Quelle histoire de mensonge pourrait bien se produire dans le monde de Vic? » Si la connexion se fait, je devrais y trouver un livre.

Mon exemple est fictif, bien sûr.

Mais… je prépare une catégorie Vic nouveau où je vais te demander un coup de main dans mon questionnement pour de vrai. Stay tuned.

VV