Moi-là, je suis fasciné par les choses qui ne se peuvent pas. J’aimerais que le pas vrai soit vrai. (J’écris des romans, aussi… et c’est parfois dur à croire!)
Quand j’écrivais L’adc, je passais du temps sur le Net pour trouver des informations qui coloreraient mon histoire. À un moment donné, je cherche une chanson sur la destruction. Je pense à du métal. Je me dis Metallica avec Seek and Destroy. En fouillant un peu, je me rends compte que la toune en question est devenue suspecte après les attentats du 11 septembre… censurée par Clear Channel! Par-fait.
Je t’ai déjà parlé de l’œuf Fabergé… (Scène coupée: Les Russes). Quand je pensais que Vic ferait une découverte stupéfiante, je me suis dit qu’un œuf mythique serait parfait. Google. Google. Et je découvre que l’année où se déroule le roman, en plein 2001, on a redécouvert un œuf Fabergé inachevé, le dernier fabriqué. Il était perdu depuis le début du 20e siècle! Et l’œuf en question s’appelait le constellation, comme l’entreprise où Vic travaille. Je tombe sur le derrière, les destin avec un gros TIN.
Autre exemple. Je détermine que la décision de Vic de quitter Copine au début du roman, ce point tournant dans sa vie, va se passer la veille du 11 septembre, le 10, donc. Il fallait bien aussi que XYZ me contacte pour me dire qu’ils ont envie d’éditer mon livre par un beau 10 septembre. Les astres s’alignent… trop.
Non, mais il y a de quoi écrire que Vic hérite de la fortune d’un oncle disparu pour Noël, au cas où. (Ou qu’il remporte le Goncourt…)
VV