Oui, lecteur aimable et empathique, c’est un fait: Marie-Christine Blais, du journal La Presse, a publié aujourd’hui une critique sur L’appartement du clown. La chose est arrivé le vendredi 23 avril 2010, je note la date.
On me donne ***, trois, three, tres. Je suis bien content. (Je dirais plus, mais je rougis.)
Je te donne quelques extraits en vrac: « Verdier réussit, avec beaucoup d’esprit, à relater ces moments où on est sans attache, sans but, et où on prend la mesure de ses failles. » « …les nombreuses références musicales comptent au nombre des plaisirs procurés par ce roman. » « Mais il y a là un ton, un humour et une verve qui valent franchement le détour. » (Elle me reproche mon cabotinage, mais moi aussi, parfois – c’est juste.)
C’est le genre de texte qui permet à un roman de survivre plus longtemps dans le monde sauvage du plancher de librairie.
VV
Bonjour Vic, très heureux de te connaître. C’est bizarre, mais après avoir visité l’appartement du clown, à travers tes mots, je me sens copain-copain avec toi!
Bravo pour ce petit chef-d’oeuvre et sois assuré que je vais en faire l’une de mes recommandations dès maintenant à ma librairie!
Merci pour ces bons moments et bon succès !
C’est très encourageant, un commentaire comme le tien, Billy. Tu confirmes l’atteinte d’un des mes objectifs: engager le livre dans un dialogue avec ses lecteurs! (Et merci de favoriser le rencontre entre mon clown et tes clients – ça permet au livre de vivre plus longtemps…) VV
Je ne peux rien lui reprocher, il est vrai que je cabotine. Il faut assumer. Ce que je fais sur-le-champ.
VV
Mon j’adore ton cabotinage dans le livre et dans la vie ! Longue vie cabotine à VV et à l’Appart du clown !