Une nouvelle critique Internet!
C’est sur la-fin-du-monde.fr – je te jure, « point EF ÈR ». Mais d’où vient-il que l’Outre-Atlantique s’intéresse à mes pages? Et que ce soit un site sur la fin du monde – wtf – qui brise la glace? Vic, tu veux rire de moi? Hé bien, non. Pas du tout. Le monde du www est une merveille de possibilités multiples qui crée… d’autres possibilités multiples. Le webmestre de la-fin-du-monde.fr est tombé sur le communiqué de presse qui annonçait la naissance de L’appartement du clown où les mots « The End of the World as we Know it » se trouvaient cités. C’est simplement une des chansons qui truffent L’adc. Lui a pensé que le roman parlait de la fin du monde et il s’y est intéressé. (Il? Je ne suis même pas sûr… son pseudo est ethanol ou ethan hunt – le nom du héros de Mission Impossible… ethanol est aussi sur Twitter) En tous cas, ça donne une cybercritique qui propage un peu plus la bonne nouvelle.
C’est quoi ce site?
Explication: « Depuis l’apocalypse de Saint Jean notre société vit dans l’attente de sa fin, pas étonnant que cela prenne la tête de quelques-uns, dont moi. la-fin-du-monde.fr c’est le point de rencontre des informations sur la fin du monde, films, livres, musique, théâtre, et bien sur news. » On trouve toute sortes de choses, des théories apocalyptiques aux romans québécois (;-)) en passant par les films sur 2012 et ainsi de suite. Un beau varia géant sur le thème du bout d’la marde.
Les gens de l’hexagone qui attendent la guerre nucléaire ou la H1N9 (ou qui ont tout simplement du plaisir avec les histoires qui en parlent!) sont maintenant informés de l’existence de Vic Verdier. Je trouve ça très beaucoup bien. En plus, notre critique inusitée est plutôt positive!
Que dit ethan hunt?
Je te laisse en juger: « La grande réussite de «L’appartement du clown», c’est la proximité qu’il propose avec son héros, on le finit en ayant vraiment l’impression d’être devenu un copain de VV, de faire partie de sa bande. Car ce personnage attachant, colocataire d’un clown, discutant sans cesse avec son grand-père (décédé), balançant en permanence du looser au winner est parfaitement humain, c’est à dire attirant et faillible. » Ou encore: « On sent que l’auteur prend énormément de plaisir à jouer avec les mots […] » (Par contre, il n’aime pas que je m’adresse à lui. Ça ne plait pas à tout le monde.)
De surcroît, la-fin-du-monde.fr affiche des liens vers la Verve, la critique de Marie-Christine Blais, la bande-annonce, le lancement… bref, c’est un excellent point de départ pour découvrir mon livre. Entends-tu le téléphone sonner? Mon éditeur décroche le combiné. « Vous voudriez publier ce roman en Europe? Oui, oui, M. Gallimar, c’est chose possible… »
Je te le répète: possibilités multiples.
VV
C’est « il » 😉
Et oui le www se joue des frontières et offre parfois des rencontres inattendues, tant mieux.
Longue vie à « L’ADC » en attendant le « Moderne Cabaret ».