Nous y voilà. Après La Presse et le Voir, mon roman a squatté quelques lignes dans Le Devoir, sous la plume de Christian Desmeules, ce samedi 4 septembre.
Soyons honnête, on ne peut pas dire que M. Desmeules ait connu une forte dose de plaisir en passant par mon appartement. Il est juste dans sa description du contexte narratif, mais ne s’est manifestement pas amusé autant que d’autres. Par contre, il n’y a pas vu que du mauvais et… au moins, il parle du livre!
Je me rends compte, ami lecteur, que j’ai la couenne relativement dure. Je ne m’attendais pas à des fleurs, toujours des fleurs et que des fleurs; à vrai dire, je redoutais surtout les pots – qui ne me frappent finalement qu’avec peu d’insistance. Somme toute, se rendre compte que L’adc est toujours vivant après six mois (une éternité dans la vie d’un premier roman) me procure une grande satisfaction.
Je souhaite remercier M. Desmeules pour deux belles paroles:
1) « …le roman profite d’un ton désinvolte qui lui permet de se démarquer. On imagine que Vic Verdier n’en restera pas là. » Pas mal comme finale. On la retiendra, j’espère.
2) « …nombreuses scories… » M. Desmeules m’a appris ce mot! Je ne savais pas ce que ça voulait dire et j’ai vérifié. On parle métaphoriquement des mauvaises parties d’un tout. (Ça vient de l’industrie métallurgique.) Je penserai à l’utiliser dans Le Moderne Cabaret.
Il ne me manque que Le Journal de Montréal. (Quatre buts, on appelle ça un tour du quoi?)
Lire la critique sur Le Devoir – payant, malheureusement.
Bravo Vic ! Parlez-en en bien ou en mal mais parlez-en ! As-tu un décompte du nombre de livres vendus à ce jour ?
Nein. L’entente entre les libraires et les éditeurs donne beaucoup de mois et de mois aux premiers pour décider de garder ou non les inventaires commandés… à suivre!