Mecs et meufs qui lisez le Vic. Sachez qu’on ne sait jamais rien. Ou pas grand chose. Je suis présentement en train de reprendre une partie du texte du Moderne Cabaret pour en changer la forme narrative: bref, je me casse la voix. Et je me disais que ce serait un tavail rigoureux, mais essentiellement de nature plastique – le contenu devait demeurer le même. Je me répète: on ne sait jamais! Depuis que je change la façon de « narrer » la partie chilienne du récit, j’introduis en même temps toute une nouvelle relation entre l’histoire que je raconte et les personnages qui la partagent. Tout d’un coup, le fait d’avoir une narration « incarnée » me permets toutes sortes de nuances que je n’avais pas envisagées avant. Comprends-tu? Sinon, c’est pas grave, on ne sait jamais rien.
Par contre, on sait quand on tient quelque chose de bien. Il faut juste aller jusqu’au bout.
Ciao bellas e bellos,
VV