« Zombies, vous avez dit zombies »

« Zombies, vous avez-dit zombies? » Quels zombies? Il y en a tellement.

Ils sont lents, ils se déplacent en hordes, ils pourrissent, il faut leur couper la tête. Ils sont rapides, ils bougent comme des insectes, ils suffit de leur tirer dessus. Ils n’ont aucune capacité de raisonnement. Ils agissent collectivement. Ils ont les yeux jaunes. Ils ne ressentent aucune douleur. Ils sont sensibles au soleil et ils sortent la nuit pour se multiplier. Tu as d’autres exemples?

Entre toi et moi, les versions d’histoires où des infections terribles transforment l’humanité en bêtes sanguinaires sont trop nombreuses pour les répertorier.

N’empêche, je viens d’en ajouter une nouvelle. J’au eu envie d’écrire une série d’histoires en poupée russe dans un monde où le pire est arrivé.

Mercurochrome (titre de travail) est ma première incursion dans un univers post-apocalyptique. Mes « zombies » à moi sont des hurleurs et ils se bouffent entre eux – notamment. Il est possible que mes idées recroisent d’autres versions. J’espère quand même y apporter des éléments distinctifs suffisants pour surprendre.

Pour l’instant, je me tiens loin de l’invasion… (Dawn of the Dead) je ne mets pas en scène l’incompréhension des « normaux » face à l’infection qui ronge l’humanité. (Walking Dead) Je ne situe pas non plus l’histoire des années plus tard, alors qu’une nouvelle société a pris racines ou que des survivants se sont acclimatés. (Mad Max et I am Legend) Mes histoires se déroulent à peu près six mois après la catastrophe. C’est pratiquement aujourd’hui. L’idée est de proposer un contexte dans lequel les gens se raccrochent encore au monde d’avant, mais qui force naturellement des situations extrêmes.

Et ça se passe ici, chez moi.

J’ai situé mes romans à Québec, ou à Montréal… maintenant, je demeure au nord de Laval, dans les Basses-Laurentides. L’action est campée dans les rues que j’arpente, autour de ma maison. C’est un élément jouissif que je n’avais pas soupçonné. L’apocalypse a lieu dans ma cour.

Si t’as envie de jaser de morts-vivants, tu sais où me trouver.

VV

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