Pour reprendre le fil de mon blogue, je te propose une excursion dans le souvenir de la rédaction de L’appartement du clown. En fait, je te partage un bout de ce qui m’a permis d’y croire un peu. Des fioritures, en quelque sorte.
L’image à la gauche fait partie des petites choses que le web m’avait régurgitées en 2007 et je te la donne ici. C’est ce que tu trouvais sur Google quand tu tapais Victor Verdier dans ce temps-là. La rose « Madame Victor Verdier » – qui a d’ailleurs trouvé sa place dans L’adc. J’avais trouvé ça vraiment très intéressant.
Par ailleurs, on m’a quelques fois demandé à quoi ressemblait mon manuscrit. Aujourd’hui, je te révèle qu’il s’agissait d’un document tout ce qu’il y a de plus Word, en Times New Roman (12 pts), interligne 1,5. Il semble que ce soit assez généralisé comme format. Par contre, j’y ai ajouté un petit quelque chose que RocknFunk m’avait gracieusement produit: une image qui me servirait de tritre provisoire. Ça me donnait l’impression d’écrire pour vrai.
Tu peux voir mes hésitations titresques en cliquant ici.
Pis en plus, saches, ami lecteur, que j’ai passé de superbes vacances loin de mon train train habituel – que j’espère donc que toi itoo. Je n’ai pas écrit. (Ou si peu.) Mais je m’y remets de ce pas, puisque l’envie est loin de m’être passée.
I’m back in business, comme on dit.
Ciao,
VV