Je passe d’excellentes vacances pour l’écriture de mon premier polar.
Je t’avais dit que la nouvelle « Cochon rôti », publiée dans Zinc allait devenir un roman… qui s’intitulera Cochons rôtis (tu as remarqué la subtile différence grâce à l’utilisation discrète du pluriel?). Ne fais pas cette tête-là, je te l’avais dit.
Bon. Aujourd’hui, j’ai dépassé la marque du 36000 mots. (WTF?) Pour ton info, Le Moderne cabaret en comptait 60000 et L’imprimeur doit mourir, 80000. Pour cette première incursion dans le monde du roman policier, je vise 55000 mots. Au final, je dirais un livre d’à peu près 200 pages qui se dévore comme du pulled pork.
Mise à jour: présentement, juste là, là, dans le processus d’écriture, les choses s’accélèrent. Les idées se bousculent, les actions déboulent, la violence se concrétise… comme on s’attend à ce que ça se passe dans un polar. D’ici 10000 mots, j’aurai atteint la résolution — juste avant de faire rebondir l’enquête une dernière fois dans son retournement final, pour un autre 4000 mots. Le reste (peut-être 4000 mots) devrait être constitué de polissage et d’ajouts de quelques éléments périphériques pour donner de la profondeur aux personnages.
On parle pour parler, là. (Mais je suis plutôt excité.) En bonus, deux éléments pour les éditions futures du Trivial Pursuit: 1) Cochons rôtis est mon premier livre qui se déroule l’été et 2) je t’offre la page de garde de mon manuscrit… ce qui apparaît quand j’ouvre mon document de travail.
Ciao,
VV