C’est un plaisir tout spécial que de tenir dans ses mains les pages assemblées d’un nouveau roman, d’en caresser la couverture. « Il existe. » Émeutes. Pour preuve, je t’offre une photo-concept prise sur mon chandail de la Sainte-Flanelle.
Une fois le roman déballé, on le craque, on respire le papier — et cette odeur d’encre neuve comble les narines. Je ne suis certainement pas le seul en tirer une satisfaction fétichiste sur les bords… Cette fois, par contre, quand j’ai humé Émeutes, j’ai eu l’impression que l’encre utilisée par l’imprimeur portait des effluves qui rappellent le sang séché. Il fallait s’y attendre.
EN LIBRAIRIE À LA MI-AVRIL.
Ciao,
VV