Je trouvais que le terrible Géant Verdier, du Conte Interdit Jack et le haricot magique, méritait une « origin story ». Sa femme, Nicky, avait aussi une histoire à raconter… Lisez tout ça en mars 2022.
Mon roman coup-de-poing est de retour! Nouvelle version, texte revisité et amélioré. Les pires émeutes font rage à l’intérieur… En librairie dès janvier 2022.
David Bédard écrit bien et ça éclaire son récit noir. Il y a un rythme soutenu dans ce thriller. Dès les premiers paragraphes, on sait qu’on va avoir droit à une histoire un peu débile, gore et « in your face ».
La prémisse est simple et cadrée rapidement: une jeune femme déçue, sur le point de partir dans l’Ouest du Canada, accepte le rendez-vous d’une homme plus âgé. Ils sont supposés aller au restaurant – les choses ne se passent pas du tout comme prévu. Elle est retenue prisonnière quelque part au nord de Montréal et découvre la folie des Fils d’Adam.
Un roman dont vous êtes la victime… quelle surprenante proposition. Mais tu sais que Vic écrit toujours ce qui lui plaît et cette idée de jouer avec plusieurs trames narratives m’a plu. Beaucoup.
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En librairie à la mi-octobre 2020
Le visage sous le masque – Une psychiatre carcérale ayant perdu le contrôle de sa vie amoureuse, familiale et professionnelle hait ce qu’elle devient: une victime qui subit au lieu de défoncer les portes. Alors qu’elle n’arrive plus à rien, recluse dans sa maison au bord du lac, elle reçoit une vidéo anonyme. À l’écran, une femme masquée lui impose une « thérapie par le jeu » pour trouver sa vérité. L’inconnue propose de terribles scénarios… Et il n’y a aucune échappatoire.
C’est mon 7e roman publié en dix années d’écriture. Et j’ai eu un malin plaisir à l’écrire. Il y a une parenté avec des projets cinématographiques récents – as-tu vu Bandersnatch? C’est un film de Netflix, qui propose au spectateur de choisir la suite de l’histoire. Ça fonctionne vraiment bien. Je te conseille le visionnement.
En bref, Le visage sous le masque va te proposer des décisions que tu devras prendre pour Vic. Tu auras donc le loisir de voir les conséquences de ces choix sur l’histoire qui te sera dévoilée. Je ne te cache pas que c’est un plaisir coupable d’écriture. Comme romancier, ce genre de projet me donne le droit d’essayer des routes divergentes. Les lecteurs/trices pourront choisir les trames narratives qui leur plaisent ou les dégoûtent le plus. J’ai honnêtement hâte de savoir ce que tu en penses.
Une femme?
Cette fois, Vic, c’est Victoire Verdier. C’est la première femme à qui je fais endosser mon pseudonyme. Encore un saut dans l’inconnu. Je pense que j’étais prêt; les lectrices me le confirmeront, j’espère.
Roman de genre? Vic et la paralittérature…
Ouin. Je confirme que j’écris comme je lis. Depuis quelques années, j’assume le côté noir, les histoires sanglantes, les livres où l’action se positionne au coeur de l’histoire. J’aime beaucoup ce type d’écriture « Rated R ». Avec les Éditions ADA, dans la colletion Corbeau, c’est ce que je poursuis.
« Vous avez un suspense qui augmente progressivement, plus les pages se tournent. Il est difficile de lever les yeux, on ne veut rien perdre. J’ai eu, tout le long de ma lecture, un petit serrement au creux de la gorge. Les idées qui peuvent traverser l’esprit humain sont inimaginables. »
« Des personnages qui ont des caractères forts et qui nous transmettent une vérité dans leurs comportements, leurs paroles et leurs actions. »
« Cette lecture est un coup de cœur très marquant, Vic Verdier est très talentueux, je le mets en haut de ma liste des auteurs ayant une maîtrise de leur art. »
Billy Robinson dit du bien d’Émeutes dans la plus récente Revue Les Libraires. J’en rougis presque.
Vic Verdier a le don de nous surprendre à chaque lecture. Ce spécialiste de la «dude lit» nous propose ici un roman atypique dans lequel la violence et la cruauté de l’homme se révèlent. Critique sociale surprenante, ce roman saura vous divertir ! Perdez-vous dans ce labyrinthe d’histoires mordantes dans lequel se terrent des personnages tous plus pervers et surprenants les uns que les autres! Vous n’irez plus à un match des Canadiens de la même façon!
Moi, à ta place, je lirais le roman. Ça a vraimen l’air intriguant.
Le Vic se trouve en excellente compagnie dans les pages de cette revue: L’ANNÉE NOIRE (T. 1) : LES INQUIÉTUDES / Jean-Simon DesRochers, AUTOPSIE D’UNE FEMME PLATE / Marie-Renée Lavoie, ou encore TU AIMERAS CE QUE TU AS TUÉ / Kevin Lambert.
Dans Émeutes, je me permets une folie « All-Canadian » où les Flames de Calgary affrontent les Canadiens de Montréal en finale de la Coupe Stanley. C’est dans un futur indéfini.
Ce soir, 19 avril 2017, les Flames font face à l’élimination aux mains des Ducks… on peut pas mal dire que le scénario d’Émeutes n’est pas pour cette année. On verra l’an prochain. Ou en 2019.
Moi, j’écris des romans et, avec les affaires que j’y raconte, je préfère quand la fiction reste dans la fiction.