Ça brasse dans le petit monde de Vic. Je viens de commencer une réécriture. (Dans ce mot-là, la syllabe ré est incroyablement chargée de sens… elle sous-entend que la chose a été écrite et que, sous l’impulsion d’une directrice littéraire avisée, l’auteur entre en période d’ajustement.)
L’imprimeur doit mourir verra donc le jour, et les tablettes de librairies, aux alentours du printemps 2014. Et je n’en suis pas peu fier.
J’ai comme la sensation que tu vas aimer.
Bon, je t’embrasse – une fois n’est pas coutume et l’occasion fait le larron.
Ciao,
Vic
Quelle excellente nouvelle! J’ai hâte de te re-lire encore une fois. 😉