Isabelle Léger a bien raison de recommander mon livre pour une lecture d’été. Je prends ça comme un compliment.
Celle qui blogue à La Bible urbaine, a digéré L’imprimeur doit mourir et ne s’en est trouvée plutôt satisfaite, je crois. Elle explique avec aplomb le jeu de va-et-vient que j’ai créé entre les époques, les personnages, les pseudonymes, l’action du thriller et son pendant roman-feuilleton.

Baltimore, ville fétiche de Tim Cockey et de son héros, Hitchcock Sewell
Elle écrit aussi, juste après une synthèse assez réussie des prémisses de l’intrigue: « On le voit, tout est en place pour un thriller comique aux rebondissements arrangés avec le gars des vues. Dans un style assez dynamique où les explications s’insèrent dans les dialogues, l’intrigue rappelle un certain type de feuilleton policier misant davantage sur les évènements que sur la psychologie. » Là encore, je suis d’accord avec elle. L’imprimeur doit mourir s’apparente à quelques séries de polars américains qui proposent des personnages caricaturaux, qui ne se prennent pas trop au sérieux. Avec, parfois aussi des noms un peu exagérés… Je pense à Miron Bolitar (de Harlan Coben) et à Hitchcock Sewell (de Tim Cockey — qui publie aussi sous le nom de Richard Hawke). Si c’est à eux que songeait Mme Léger, je suis flatté!
Elle n’aime pas tout, mais conclut en me donnant « 3 étoiles » et en conseillant de me lire au bord de la piscine. Je trouve que c’est une excellente idée. C’est d’ailleurs une des endroits que je choisirais moi-même pour me lire.
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VV