Michel Bélair a lu L’imprimeur doit mourir pour Le Devoir. Sa critique paraît aujourd’hui en page F4 du journal – c’est dans le cahier LIVRES. Il reproche à l’intrigue de tarder à démarrer. Pour ce qui est du reste, il écrit des mots plutôt élogieux.
« Mais le charme vieillot de cette histoire – qui au fond est celle d’un romancier qui souhaite laisser trace de son oeuvre – réside d’abord dans le parfum Belle Époque qui s’en dégage. Les personnages comme les situations décrites sont littéralement d’un autre âge, et Vic et ses amis de la Maison rouge donnent au Québec du début du XXe siècle une allure plutôt sympathique. »
En prime, je crois que c’est la première fois que mon propre visage me retourne un regard bienveillant en si gros plan dans un quotidien. Somme toute, je suis bien content du résultat.
(J’ajoute ici une photo de Maurice Leblanc, le créateur d’Arsène Lupin, dont Michel Bélair parle dans son article! Au cas où tu aurais voulu savoir qui c’est.)
Salut!
VV