Vic a lu pour toi: Freedom, de J. Franzen

ImageUn gros roman… ouaip, pas mal gros.

On a beaucoup parlé de ce titre, alors, je me suis dit: pourquoi pas? Et je me suis lancé là-dedans. J’en ressors impressionné, bien que pas vraiment sous le charme. Je crois que tu peux lire, tout de même, lecteur omnivore. Parce que Freedom se lit. (De toute façon, je ne parle pas des livres que je n’ai pas aimés, tu le sais bien.)

Alors, pourquoi lirais-tu? Eh bien, je crois que c’est question d’admirer le contrôle de J. Franzen. Virtuosité. Sa capacité à ficeler une brique qui semble se diriger en tous sens, puis qui se regroupe dans un joli paquet jusqu’à ce que tu y voies clair. Jusqu’à ce que ses personnages, plutôt complexes et évolutifs, se révèlent à toi dans leur lumière. Et leur ombre, puisque l’une va nécessairement main dans la main avec l’autre.

C’est pourquoi j’ai dit que j’avais été impressionné. Je ne suis pas encore de ces auteurs capables de présenter une narration variée, touffue, pour tourner autour de personnages en mouvement comme autant de caméras, autant de points de vue. Mais j’y travaille. (D’ici-là, je vais me ranger du côté des admirateurs.)

Je ne te raconte pas cette saga familiale. Ça ne te guiderait pas. Inutile. Par contre, je peux t’assurer que Franzen nous entraîne au coeur de cette Amérique, qui chevauche les 20e et 21e siècles, avec ses contradictions enrageantes et ses aspirations puériles, avec sa résilience et sa capacité à rêver de mieux, aussi.

Salut,

VV

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