Faces de bœufs est prêt pour les précommandes. (T’as juste à cliquer sur le lien.)
Que dit-on derrière la couverture de ce roman que je te promets d’écrire depuis des années?
« Vic Verdier et Jessy Di Filipo, sa partner de patrouille devenue partenaire de vie, envisagent de fonder une famille. Pendant que Vic s’emmerde dans ses enquêtes, Jessy exulte à titre d’agente de liaison auprès de la startup qui pilote un projet visant à équiper tous les policiers d’une caméra corporelle. Vic a des doutes : le monde entier a-t-il vraiment besoin de voir en permanence leurs « faces de bœufs » ?
Or, plus ses enquêtes avancent, plus il remarque des parallèles troublants avec des événements survenus lors du passage à Montréal en 1976 de membres de la mafia napolitaine et une délégation de celle-ci est récemment débarquée en ville, le jour même du lancement d’une certaine startup… »
Voilà – nous sommes trois ans après les événements racontés dans Cochons rôtis. Ce drame a laissé des traces et a forcé Vicenzo Verdier à réfléchir sur sa vocation. Le détective est maintenant légitime dans son ambition d’enquêteur… sur papier. Il se retrouve enfin au cœur d’une affaire de meurtre – un encanteur d’œuvres d’art – enquête qui va présenter des ramifications imprévisibles, inattendues et beaucoup trop personnelles.
Pourquoi le titre Faces de bœufs? Parce qu’on touche à l’idée de caméras corporelles qui les filment, ces faces de bœufs, parce que Vic essaie d’avoir un petit bœuf avec sa blonde, parce qu’on cherche un dessin de corrida disparu et aussi parce qu’on soupçonne certains pas-bons de mettre leur face de bœufs pour se faire passer pour des policiers.
Hâte que tu m’en donnes des nouvelles.
VV



